encre,brou de noix , crayons sur papier "do " ( 20 x 30 )
Quand soudain le ciel s'est obscursi .
Une brusque et violente bourrasque a soulevé son chapeau .
L'averse ne lui laissa pas le temps de se mettre à l'abri .
dimanche 31 juillet 2011
samedi 30 juillet 2011
Futilités
encre,brou de noix,indigo sur papier "do" ( 20 x 30 ) .
Le village revenu . Eloigné un temps devenu comme une vacance habituelle. Puis le retour. Retrouver ce qu'on a laissé ,une maison, un jardin à rafraichir, des amis à saluer. Reprendre des habitudes. Un réveil avec les premières lueurs du jour. Musique criarde et vociférations nasillardes du haut-parleur. Aller courir. Le parcours habituel, les femmes à vélo où vont-elles si tôt, les hommes au café, la marchande de soupe et les cinq vieilles avec leur bâton qui viennent faire leurs exercices . Jardiner, enlever les mauvaises herbes, tailler, retourner un coin de terre. Rizière , rien ne se passe . Le riz pousse ,on arrose , on surveille de loin en loin. Soleil et chaleur étouffante de juillet , incitation au rien faire. Y compris ne pas peindre, à quoi bon. Jusqu'à recevoir un signe lointain venu d'un ami américain. Un poème , " Futility" . Qui se finit ainsi : " And the wind never ceases to blow" . Le vent ne s'arrète jamais.
Le village revenu . Eloigné un temps devenu comme une vacance habituelle. Puis le retour. Retrouver ce qu'on a laissé ,une maison, un jardin à rafraichir, des amis à saluer. Reprendre des habitudes. Un réveil avec les premières lueurs du jour. Musique criarde et vociférations nasillardes du haut-parleur. Aller courir. Le parcours habituel, les femmes à vélo où vont-elles si tôt, les hommes au café, la marchande de soupe et les cinq vieilles avec leur bâton qui viennent faire leurs exercices . Jardiner, enlever les mauvaises herbes, tailler, retourner un coin de terre. Rizière , rien ne se passe . Le riz pousse ,on arrose , on surveille de loin en loin. Soleil et chaleur étouffante de juillet , incitation au rien faire. Y compris ne pas peindre, à quoi bon. Jusqu'à recevoir un signe lointain venu d'un ami américain. Un poème , " Futility" . Qui se finit ainsi : " And the wind never ceases to blow" . Le vent ne s'arrète jamais.
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